Disney, un employeur majeur dans l’État du Sud avec le parc à thème Walt Disney World basé à Orlando, fait l’objet de sanctions juridiques accrues de la part du gouverneur après s’être prononcé l’année dernière contre un projet de loi sur l’éducation soutenu par DeSantis concernant les jeunes LGBTQ.
DeSantis, une étoile montante conservatrice aux aspirations présidentielles, a qualifié le cabinet de « réveillé » dans le cadre de sa bataille contre des institutions qu’il juge trop progressistes.
En février, DeSantis a retiré à Disney le contrôle de son propre district autonome, ce qui a permis au parc de la taille d’une ville de gérer ses propres projets de zonage et d’infrastructure, exemptés des réglementations de l’État.
Et mercredi, le comité nommé par DeSantis qui a ensuite pris le contrôle du district a voté pour annuler les accords de longue date qui donnaient à Disney des pouvoirs effectifs d’autonomie gouvernementale dans le parc.
En réponse, Disney a poursuivi DeSantis, alléguant une « campagne ciblée de représailles du gouvernement » pour les positions politiques de Disney.
La demande reconventionnelle a été déposée lundi par le même comité soutenu par DeSantis qui a voté pour supprimer les capacités d’autonomie de Disney, dans le but de conserver le contrôle du territoire et d’annuler les accords précédents avec la société.
Le gouverneur de 44 ans a offert son combat contre Disney comme un insigne d’honneur dans sa quête contre les sociétés libérales et les fondations, le combat occupant un chapitre entier de sa récente biographie.
© 2023 AFP
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