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Proposition du NFP visant à réintroduire la « taxe de sortie » originale en France : impact sur les propriétaires d’entreprise

Proposition du NFP visant à réintroduire la « taxe de sortie » originale en France : impact sur les propriétaires d’entreprise

Le groupe de gauche NFP en France veut durcir « l’exit tax », une taxe visant à pénaliser les entrepreneurs qui s’installent à l’étranger avant de vendre leurs parts dans une entreprise française tout en résidant dans un pays au régime fiscal allégé.

La taxe a été imposée sous Nicolas Sarkozy en 2011, mais a été considérablement assouplie sous Emmanuel Macron. La Caisse nationale de retraite souhaite désormais revenir à la version originale, ce qui signifie que les personnes les moins aisées seront concernées et qu’il faudra beaucoup plus de temps pour bénéficier d’un allègement fiscal.

Cela intervient alors que la France se retrouve toujours sans nouveau Premier ministre, plus de six semaines après les élections législatives décisives du 7 juillet.

Il y a plusieurs candidates avec un nom sur le ring, dont Lucy Castets, la pick de gauche Nouvelle interface populaire La coalition NFP, qui a remporté le plus grand nombre de sièges mais est loin d’avoir la majorité absolue Assemblée nationale.

Mme Castets, une fonctionnaire, a déclaré qu’elle donnerait la priorité aux politiques fiscales et de dépenses du programme du Parti national des travailleurs si elle était élue, affirmant qu’elles stimuleraient l’économie française.

L’une des propositions du FJP est de renforcer la « taxe de sortie » française, ce qui obligerait un nombre beaucoup plus important d’hommes d’affaires et d’autres personnes détenant des participations importantes dans des entreprises à payer un impôt français s’ils déménagent hors de France.

Mme Castets a également déclaré vouloir, plus généralement, s’inspirer du modèle fiscal américain, selon lequel les citoyens américains résidant à l’étranger doivent toujours déposer leurs déclarations en France et payer des impôts américains, si leurs revenus sont suffisamment élevés.

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Qu’est-ce que la « taxe de sortie » française ?

Il existe une version française de la « taxe de sortie ». Il s’agit d’une version édulcorée de la taxe initiale introduite en 2011 (votée pour la première fois par le Parlement français en 1998 avant de être rejetée par l’UE).

Sont concernés les personnes ayant résidé en France pendant six des dix dernières années, quelle que soit leur nationalité, et qui détiennent des actions d’une société dont la valeur dépasse 800 000 € ou leur donnent droit à plus de 50 % des bénéfices versés à associés/actionnaires de la société (équivalent à 50% de la détention du capital de la société).

Ces actions sont soumises à un impôt forfaitaire de 30 % (12,8 % d’impôt sur le revenu, 17,8 % de charge sociale) sur les plus-values ​​notionnelles réalisées sur ces actions lors de leur séjour en France, même si les actions ne sont pas cédées et restent en leur possession lorsque ils partent.

Toutefois, selon le pays dans lequel une personne s’installe (pays de l’UE/EEE et pays ayant signé avec la France des accords de lutte contre l’évasion fiscale, la fraude fiscale et la récupération réciproque de l’impôt), cette taxe n’est perçue qu’en cas de cession d’actions.

Comme pour les autres pays, cela se fait au moment de quitter la France.

Si les actions ne sont pas vendues dans un délai de deux ans (ou cinq ans si la valeur est de 2,57 millions d’euros ou plus), la taxe ne sera pas prélevée (ou elle pourra être restituée à ceux qui l’ont déjà payée).

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Vous pouvez en savoir plus sur la version actuelle de l’impôt à la page 27 de notre guide de l’impôt sur le revenu français sur la vente ici.

En plus du retour à un impôt de sortie plus strict, le Parti national français envisage un impôt sur la fortune en France (un impôt annuel sur la fortune possédée, au-dessus de certains niveaux – payé soit par les résidents, soit par les non-résidents qui possèdent une propriété en France).

Elle souhaite revenir à un impôt plus large sur la fortune en général (actions, argent en banque, bijoux, voitures, bateaux…), et pas seulement à l’impôt simplifié sur la fortune immobilière imposé par le président Macron.

En outre, il souhaite que le REIT rapporte plus de revenus qu’auparavant, en supprimant certaines exonérations, par exemple sur les biens immobiliers utilisés à des fins commerciales.

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Quels changements le Fonds National de Développement va-t-il apporter à la taxe de sortie ?

Le NFP souhaite que la taxe soit rétablie en 2011.

Cela aura pour conséquence d’imposer les personnes si leur patrimoine vaut 1,3 million d’euros (plus que la valeur actuelle), ou s’il équivaut à au moins 1 % du capital de l’entreprise, au lieu de 50 %.

Par ailleurs, la défiscalisation pour ceux qui ne cèdent pas leurs actions n’entrera en vigueur qu’au bout de 15 ans, contrairement à la période actuelle de deux ou cinq ans.

Est-ce que cela changera beaucoup ?

Les changements pourraient ne pas générer autant de revenus que prévu.

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Les calculs effectués en 2018 ont montré qu’au cours des trois années au cours desquelles l’impôt a été prélevé comme le souhaitait le NFP (l’impôt a été modifié en 2014 par François Hollande, alors président, avant la réforme de Macron en 2017), il a rapporté en moyenne 67 Seulement un million d’euros par an.

Cela est dû en partie à la charge de travail intense qu’implique la collecte de l’impôt, car les fonctionnaires doivent trier d’énormes quantités de données sur les actions des entreprises. Cela a conduit à utiliser des ressources ailleurs pour collecter d’autres impôts.

le Conseil des prélèvements Obligatoire Selon elle, jusqu’à 800 millions d’euros pourraient être collectés chaque année si tous les droits de douane éligibles étaient collectés.

C’est pourquoi la Caisse Nationale de Retraite souhaite augmenter les ressources dont dispose le fisc.

Cependant, il manque au Front national pour le changement une centaine de sièges pour obtenir la majorité absolue au Parlement, et il est peu probable qu’il soit en mesure de proposer des changements radicaux dans la collecte des impôts, d’autant plus qu’il lui faudra convaincre les alliés de Macron, ceux responsables de la modification de la fiscalité. – de voter pour Ré-imposé.

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