Les États-Unis craignent que les élections nationales cambodgiennes du 23 juillet n’aient été ni libres ni régulières.
Avant les élections, les autorités cambodgiennes se sont livrées à une série de menaces et de harcèlement contre l’opposition politique, les médias et la société civile qui ont sapé l’esprit de la constitution du pays et les obligations internationales du Cambodge. Ces mesures ont privé le peuple cambodgien d’une voix et d’un choix pour déterminer l’avenir de son pays.
En réponse, les États-Unis ont pris des mesures pour imposer des restrictions de visa aux personnes qui ont sapé la démocratie et ont mis en place une pause dans certains programmes d’aide étrangère.
Avec la formation d’un nouveau gouvernement par le Parti populaire cambodgien au pouvoir, les autorités ont l’occasion d’améliorer la position internationale du pays, notamment en rétablissant une véritable démocratie multipartite, en mettant fin aux procès à motivation politique, en annulant les condamnations des détracteurs du gouvernement et en permettant aux médias indépendants de rouvrir et de fonctionner sans ingérence.
Les États-Unis attendent avec intérêt de poursuivre leur partenariat avec le peuple cambodgien pour soutenir ses aspirations à un pays plus prospère, démocratique et indépendant où toutes les voix seront entendues.
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