Rotherham, Angleterre — Grace Gioro a écrit son nom dans l’histoire du Championnat d’Europe lors d’une soirée mémorable à Rotherham.
Il y avait un buzz autour de Rotherham alors que les fans attendaient avec impatience le dernier match de la première journée de l’Euro 2022, avec un groupe D très compétitif voyant déjà un match nul entre l’Islande et la Belgique lors du premier coup d’envoi et un appel très serré pour le second. Alors que les tribunes du stade de New York viraient au bleu pour le choc entre la France et l’Italie, il semblait que personne ne pouvait attendre le coup d’envoi, et l’annonceur du stade ne comptait même pas. dix.
C’était une bonne indication du rythme auquel les équipes voulaient jouer Barbara Bonanza L’Italie n’a eu aucun scrupule car elle a laissé passer une bonne occasion Les Blues Il a marqué but après but Laura GiulianiGagné 5-1.
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Le football a des archétypes et des stéréotypes, de la samba brésilienne au football total néerlandais. Tous les Italiens ont donné au monde, depuis la domination initiale de leurs équipes nationales masculines. Catenasio Où notre esprit va toujours quand nous pensons Azzuri, c’est pourtant un style que Milena Bertolini, sélectionneuse de l’équipe nationale féminine, n’a jamais prêché. Si Catenasio Littéralement traduit par « verrou de porte », il était difficile de savoir comment appeler le style de Shaw de l’équipe blanche de Rotherham – peut-être Spalancato (grand ouvert). Vêtus de blanc de la tête aux pieds plutôt que de leur bleu traditionnel et emblématique – avec les Français parés de bleu monochromatique – leur kit était un symbole de leur reddition défensive.
La France est entrée dans le match avec de nombreux points d’interrogation dans la tête de l’équipe : peuvent-ils enfin éliminer les barrières mentales qui ont miné la ligne droite à chaque match qu’ils ont joué ? Leur joueur vedette, Amantine HenriComme le milieu de terrain lyonnais a été laissé à la maison, le chef d’orchestre sur le terrain a souvent confondu son entraîneur, Corin Diacker, et il était clair avant que l’équipe ne se réunisse qu’il ne jouerait aucun rôle.
Tout comme leurs homologues masculins, il semblait toujours y avoir du bruit et du drame autour de l’équipe de France. Beaucoup est venu de la pirogue au cours des trois dernières années, mais quand le ballon a commencé à rouler à Rotherham, Les Blues Tous chantaient sur la même partition alors que leur entraîneur orchestrait l’une des victoires les plus complètes de l’histoire de l’Euro. S’il y avait un malaise, il a été mis au repos dès que le coup de sifflet a retenti.
À la neuvième minute, un rebond inattendu dans la surface a vu le ballon atterrir aux pieds de Chiaro, et quelques instants plus tard, le milieu de terrain n’a pu parer qu’un faible centre directement du milieu de terrain. Marie-Antoinette Gatto. La livraison était le genre que le Paris Saint-Germain a l’habitude d’obtenir de la chanteuse Caditiado dianiPas l’opposition, mais l’un des attaquants les plus forts d’Europe n’avait pas besoin d’encouragement pour en faire deux.
C’est là que le match a quitté l’Italie, alors que la France s’est installée dans un jeu de passes vertigineux qui a laissé la défense exposée, montrant la qualité souvent qualifiée de favorite. Alors que l’équipe lyonnaise de l’équipe était principalement vue en défense, la façon dont l’attaque et le milieu de terrain se déplaçaient avec une précision écrasante, comme un requin dans l’eau, aurait étonné l’entraîneur lyonnais Sonia Bombaster.
Deux sont devenus trois Delphine Cascarino Guero a marqué son premier de son histoire avant d’annuler la soirée avec un sublime effort bas, marquant le quatrième but de la France en première mi-temps, son plus grand jamais réalisé dans un tournoi de l’Euro. Cinq minutes plus tard, la milieu de terrain a complété son tour du chapeau avec une délicieuse volée, devenant la première joueuse de l’histoire de l’Euro à réussir un triplé en première mi-temps et la deuxième Française seulement à marquer trois fois en un seul match de l’Euro. Par coïncidence, cinq buts ont été marqués dans la première moitié du tournoi de l’Euro.
Découragée, l’Italie s’est retirée à la mi-temps, sachant qu’elle était du mauvais côté de l’histoire et que les joueurs étaient incapables de faire face à la pression française. Pour Diacre et la France, on pourrait demander un peu plus, l’équipe avait l’air de jouer à la FIFA sur un euphémisme facile et de classe mondiale. Le verrou fut ouvert, la porte défoncée et le château saccagé.
Malgré l’écart de qualité en première mi-temps, Bertolini reste fidèle à son approche consistant à toujours rechercher des leçons positives ou enseignables.
« Nous allons recommencer avec les points positifs, et il y avait des points positifs », a-t-il déclaré. « On a montré de bonnes choses en deuxième mi-temps, on est resté ensemble, on a été compacts, on s’est tous entraidés et on avait un bon esprit d’équipe.
« Il s’agit vraiment de le créer de manière créative. »
S’ils n’ont pas baissé les bras lors de la première mi-temps, la seconde a été plus flatteuse du point de vue français, le travail accompli, l’équipe italienne, dont les joueurs ont joué sereinement, sans en concéder une autre, ne devrait pas surmonter sa plus grosse défaite (6- 0 contre le Danemark et la Suisse). Des remplacements sans fin ont laissé la moitié fragmentée. Chara Gamma, le capitaine italien est devenu le premier joueur de l’histoire de l’Euro à recevoir un carton rouge direct via l’examen VAR. L’homme du triplé a été l’un des nombreux changements rapides sur le terrain alors que les deux équipes continuaient de ressembler à celles qui s’étaient alignées plus tôt dans la soirée.
Un objectif de compromis Martine Piemonte Sans doute pas moins de L’Azure À juste titre, cela a servi à souligner comment les Français ont levé le pied tout en donnant à l’Italie un rare moment de fête.
Les questions entourant cette équipe française sont de savoir si elle peut surmonter des problèmes internes et son propre KO en quart de finale. Les Blues Deux Coupes du monde et deux Euros – à défaut de progresser au-delà des huit derniers lors de leurs trois dernières sorties en Europe, voire de leurs quatre derniers tournois majeurs. La France était souvent de classe mondiale dans les phases de groupes du tournoi, capable de vaincre n’importe quelle opposition, mais a échoué dans les huitièmes de finale, et sa victoire rugissante à Rotherham laissait peu ou pas de question sur la suite de cette équipe.
Dans la nuit, l’histoire de l’équipe nationale, les légendes aux fameux maillots bleus et les frustrations de leur rivalité tenace, comptaient pour peu, le drame et le bruit bouillonnant alors que cette génération de légendes prenait une attaque flamboyante. Un spectacle que personne n’oubliera longtemps. Ils joueront ensuite contre la Belgique, la nation la moins bien classée de leur groupe, et rechercheront la même attaque dévastatrice pour maintenir l’élan et les maintenir dans ce tournoi. En quarts, ils peuvent enfin aller un (sinon deux) mieux.
« Nous essayons de trouver une solution », le milieu de terrain français Kenza Daly a déclaré à ESPN après le match. « Nous ne savons pas vraiment ce qui n’a pas fonctionné auparavant, mais nous essayons simplement de jouer notre jeu, de jouer avec liberté.
« Lors du match précédent, nous étions un peu sous pression, je pense que nous n’avons pas joué avec cette liberté.
« Maintenant, nous essayons juste de rester forts mentalement et de gérer nos émotions, et c’est ce que nous avons fait ce soir. »
Pour l’Italie, qui a peu de temps pour panser ses plaies avant d’affronter l’Islande, le premier travail de Bertolini n’est pas tant de trouver le verrou de la porte, mais plutôt de trouver la porte que la France a fait sauter de ses gonds.
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