Posté sur:
Paris (AFP) – La France était seule face à la Nouvelle-Zélande lors du tirage au sort de la Coupe du monde de rugby 2023 en décembre dernier sur le luxueux site de l’ancienne Bourse de Paris.
L’entraîneur des Bleus Fabien Galthie et les organisateurs motivés financièrement et à la poursuite de la télévision sont rapidement intervenus pour lever le rideau sur le match et diriger le match.
Ce samedi, la très attendue répétition costumée du match d’ouverture de 2023 aura lieu dans l’Etat de France avec différentes parties dans différentes situations.
Le week-end dernier, tous les Noirs sont morts de faim sans possessions, ont refusé le rythme et ont été matés par la firme Ireland à Dublin.
« Cette semaine a été intéressante car si les All Blacks perdent, ce n’est pas le meilleur environnement pour les deux premiers jours.
« Nous attendons avec impatience jeudi et vendredi. La marge s’affine d’ici samedi », a-t-il ajouté.
Alors que les triples vainqueurs de la Coupe du monde ont mis du temps à digérer les événements sur Lansdowne Road, Kalti s’est concentré sur la rencontre dans la capitale française quelques minutes seulement après sa chute face à la Géorgie dimanche dernier.
« Alors que nous nous préparons à affronter la meilleure équipe du monde en six jours, je ne suis pas sûr que le mot » s’inquiète » soit le bon mot », a déclaré l’ancien capitaine de l’équipe de France Gelti lors d’une conférence de presse d’après-match.
« Nous devons être vigilants sur ce qui se passe dans l’État de France samedi. Nous devons garder pour nous ce que nous allons affronter. Nous devons chercher à les faire correspondre partout et à tout moment », a-t-il déclaré. Moins qu’un succès certain.
Le choix audacieux de Kalti pour diriger les All Blocks a été transféré du centre de la Toulousaine Romaine Ntamak au 10e maillot et est devenu un demi d’ouverture avec Matthew Joliebert nommé sur le banc.
Commutateur Ntamack
Tous les 17 départs de test de Ntamack, sauf trois, se sont arrêtés et il est revenu à son coéquipier du club et capitaine des Blues Antoine Dupont.
« J’ai toujours dit, je ne l’ai jamais caché, mon état était de moitié », a déclaré Ntamack à l’AFP cette semaine.
« Après cela, si je suis transféré au centre pour des raisons stratégiques, j’y jouerai volontiers », a-t-il ajouté.
Le père de Ntamack, Emil, a battu les All Blacks à quatre reprises au cours d’une brillante carrière, mais son fils de 22 ans n’a pas encore affronté le hack de l’équipe senior.
« Nous nous appellerons dans une semaine, mais il ne va pas me donner d’explications sur la façon de battre All Blocks », a déclaré le jeune homme.
« Je pense qu’il va me raconter mon expérience, vivre ma compétition et en profiter le plus possible », a-t-il ajouté.
Les All Blacks ont perdu pour la dernière fois à Paris en 1973, mais ont été éliminés à deux reprises lors de la Coupe du monde par Les Blus.
Malgré l’ombre de la rencontre Showbiz dans moins de 20 mois, l’entraîneur-chef Ian Foster l’a comparée à la Coupe du monde 2019.
« C’était un grand match lorsque nous avons joué au premier tour, mais lorsque nous avons joué le match d’ouverture contre l’Afrique du Sud il y a trois ans, nous y sommes allés. Nous avons gagné ce match et ils l’ont gagné », a déclaré Foster.
« De manière significative, c’est l’occasion d’affronter une équipe française confiante et de voir où nous en sommes », a-t-il ajouté.
© 2021 AFP
« Amateur de café. Gourou du voyage. Maven zombie subtilement charmant. Lecteur incurable. Fanatique du Web. »
More Stories
Au fil des jours, l’Arizona, étroitement divisé, reste un « entre-deux »
Voici qui mène les principaux champs de bataille des élections de 2024
« Nous ne sommes pas un vaisseau pour les plans des dictateurs en herbe. »