La commission parlementaire des libertés et des territoires a été le seul débat de jeudi à présenter un discours promu par Oliver Florney, une initiative qui diviserait les forces politiques au palais des Bourbons.
Au cours d’un débat, le législateur Guillo Chiche a amendé l’article 1, consacré aux «soins médicaux intensifs en cas de décès», avec 240 voix contre 48 et l’approbation contre.
Cinq représentants républicains (droits traditionnels) ont présenté plus de 2 000 des 3 000 amendements à la Chambre, ce qui a sans aucun doute rendu impossible la mise en place d’un plan.
Selon ce plan, si une personne ayant la capacité juridique et l’âge de la majorité souffre d’une maladie grave et incurable considérée comme insupportable et n’a aucune volonté réelle de la soulager, elle peut décider de mettre fin à ses jours.
Selon Florini, l’initiative reflète une plus grande liberté personnelle pour les citoyens français, un critère qui a de nombreux opposants à l’Assemblée nationale.
Étant donné que la lutte contre l’épidémie de Covit-19, qui a tué près de 100 000 Français au cours des 13 derniers mois, est une priorité, le gouvernement a récemment estimé que l’heure n’était pas à un débat sur l’euthanasie.
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