Cette année encore, une nouvelle décision difficile attend le comité de sélection français, qui vient de dévoiler les quatre titres en lice pour être représentés dans la catégorie du meilleur long métrage international lors de la 97e cérémonie des Oscars.
« Tout ce que nous imaginons est léger » (Payal Kapadia)
« Le Comte de Monte-Cristo » (Alexandre de la Pateliere, Mathieu Delaporte)
« Émilia Pérez » (Jacques Audiard)
« Misericordia » (Alain Guiraudie)
Deux de ces films ne sont même pas en français. Le film de Kapadia est indien, mais il a reçu de l’argent français pour le financer. Ce n’est pas du tout comme si l’Inde l’aurait choisi car le film semble avoir bouleversé les forces politiques de ce pays. C’est très controversé là-bas.
Pendant ce temps, « Emilia Pérez », une autre production soutenue par des fonds français, est réalisée par Jacques Audiard, principalement en anglais et en espagnol. En fin de compte, cela pourrait être le choix de la France car elle est déjà un prétendant majeur au cinéma, à la réalisatrice et à l’actrice.
Perez sera confronté à une rude concurrence de la part du blockbuster français « Le Comte de Monte-Cristo », qui a connu un énorme succès auprès du public et battu des records au box-office en France. Les critiques étaient également très bonnes. Le mot déjà Controversé Sur la question de savoir si la France devrait ignorer Perez pour cette personne.
Il est très étrange que « Misericordia », l’un des meilleurs films projetés à Cannes, d’Alain Giraudi ait été choisi, mais il mérite certainement de faire partie du carré final. J’ai été agréablement surpris par l’arrivée au quatrième tour. La prochaine étape pour Guiraudie est une révérence au Festival du film de New York le mois prochain.
Un film négligé qui mérite d’être mentionné est L’Histoire de Salomon de Boris Luzhkin, qui a été le meilleur film de la section UCR de cette année à Cannes. Il s’agissait d’un thriller profondément émouvant sur un immigrant guinéen en difficulté, qui gagne modestement de l’argent en travaillant comme livreur Uber Eats et fait frénétiquement du vélo dans la ville. Le film couvre les 72 heures cruciales de sa vie, pendant lesquelles il doit également préparer son entretien d’asile.
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