Monsieur. Macron s’est lancé dans un débat national pour découvrir les causes du soulèvement et, le 25 avril 2019, a annoncé pour la première fois que son alma mater serait démis de ses fonctions. C’était un geste symbolique puissant, mais il a rencontré des résistances et deux ans se sont écoulés sans suite. L’ENA, après tout, semblait survivre.
Plus tôt cette année, lors d’une visite à Nantes, le président a annoncé un programme intitulé «Compétences» qui, s’agissant des écoles d’élite pour les hauts postes de la fonction publique, «aucun enfant de notre république ne dit que je ne l’ai pas. «
Parmi les activités annoncées à l’époque figurait la nomination d’étudiants issus de milieux arriérés, notamment dans les banlieues des grandes villes où se sont concentrés de nombreux immigrés musulmans, pour placer plusieurs places par an dans l’ENA. Le rapport de jeudi a clairement indiqué que le projet se poursuivrait dans la nouvelle entreprise.
Monsieur. Macron a donné la priorité à la modernisation de l’État français, poussant à la suppression de la bureaucratie excessive et à la création d’un service public efficace et basé sur la performance. Ce travail est en cours.
Le président a été critiqué pour avoir concentré son énergie à attirer les électeurs du côté droit du spectre politique dans le but de contrer un défi lancé par la dirigeante de droite Marine Le Pen. Dans ce contexte, une décision prise au départ en réponse au mouvement de l’Ouest jaune visait à promouvoir et à promouvoir une plus grande diversité au sein du mouvement social et des postes de haut niveau de l’État.
« L’un des problèmes les plus importants en France est quelque chose que vous connaissez tous les jours: c’est une rupture totale entre la base de la société – actifs, retraités, chômeurs, jeunes, étudiants – et la soi-disant élite », François Beru, L’allié politique de Macron, a déclaré à France Inter Radio.
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