Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il n’ajoutait aucune nouvelle condition à l’accord sur les otages, alors que les États-Unis, le Qatar et l’Égypte se préparent à tenir jeudi une nouvelle série de pourparlers sur les otages.
Le bureau du Premier ministre a déclaré que l’affirmation selon laquelle Netanyahu « aurait ajouté de nouvelles exigences au plan du 27 mai était fausse », faisant référence à la proposition en trois phases dévoilée par le président américain Joe Biden le 31 mai.
Le document compare la proposition israélienne initiale soumise le 27 mai, qui constitue la base de ce document, avec les clarifications fournies par Israël le 27 juillet.
« Le projet du 27 juillet n’inclut pas de nouvelles conditions et n’est pas en contradiction avec le projet du 27 mai. C’est le Hamas qui a exigé 29 changements – auxquels le Premier ministre s’est opposé », a déclaré le bureau du Premier ministre. Le projet se concentrait sur trois questions soulevées par Netanyahu lui-même et largement discutées par les médias, notamment : New York Times morceau.
Le premier est le refus d’Israël de permettre aux terroristes armés de retourner dans le nord de Gaza, que Netanyahu a identifié comme l’une de ses lignes rouges dans l’accord.
Initialement, le texte sur la question affirmait que les terroristes armés ne devraient pas être autorisés à revenir, mais en juillet, il a déclaré qu’un processus de vérification serait nécessaire, selon le Département d’État. New York Times.
Le bureau du Premier ministre a déclaré : « Le projet de document publié le 27 juillet indique la nécessité d’établir un mécanisme de vérification convenu afin de garantir le retour uniquement des civils non armés dans le nord de la bande de Gaza (une proposition faite par les États-Unis). conformément à la proposition contenue dans le plan du 27 mai. » /Mai ».
Le Cabinet du Premier ministre répond aux allégations concernant les négociations d’otages
Le bureau du Premier ministre israélien a ensuite rejeté l’affirmation selon laquelle il ajoutait de nouvelles conditions concernant la libération des otages dans la première phase de l’accord. Les responsables israéliens ont exprimé franchement leur désir de voir le maximum d’otages vivants restitués au cours de cette phase, au cours de laquelle les prisonniers devraient être libérés pour des raisons humanitaires. Ce sont toutes des femmes, des personnes âgées et des malades.
« Le plan du 27 juillet prévoyait la nécessité de libérer tous les otages vivants de la catégorie concernée, conformément au plan du 27 mai, qui prévoyait la libération d’un certain nombre de personnes enlevées, vivantes ou mortes », a expliqué le bureau du Premier ministre.
Le plan se concentrait également sur l’exigence que les terroristes palestiniens libérés des prisons israéliennes dans le cadre de l’accord soient expulsés de Cisjordanie et de Gaza, et qu’Israël dispose d’un droit de veto sur certains des noms figurant sur la liste.
« Dans le projet du 27 juillet, aucune nouvelle condition n’a été posée. Au contraire, il était indiqué dans le projet du 27 mai qu’Israël aurait un droit de veto sur un certain nombre de terroristes libérés et qu’Israël pourrait en expulser un certain nombre. « Du moins de la part des terroristes », a déclaré le bureau du Premier ministre.
Le communiqué indique : « Le plan du 27 juillet comprend des clarifications essentielles dans le but de mettre en œuvre ce qui a été déclaré dans le plan du 27 mai. »
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