Quelques jours avant le premier tour de ce qui est considéré comme l’élection politique la plus importante que la France ait connue depuis des décennies, les candidats français aux Jeux d’hiver de 2030 ont annoncé leurs projets au Comité International Olympique.
À l’instar de la présentation de l’Utah sur les Jeux d’hiver de 2034, faite mercredi devant une centaine de membres du CIO basé en Suisse, la réunion du même jour avec les partisans de la candidature française des Alpes françaises était privée.
Mais une déclaration de la France suggère que les membres du CIO ont des questions sur les projets de la France. Les responsables du CIO ont annoncé plus tôt ce mois-ci que la candidature était suspendue jusqu’à la tenue d’élections parlementaires nationales surprises.
Le président français Emmanuel Macron a dissous l’Assemblée nationale française et convoqué des élections après la victoire de l’extrême droite aux sièges au Parlement de l’Union européenne. Le vote aura lieu dimanche et le 7 juillet.
En litige avec la candidature des Alpes françaises aux Jeux d’hiver, le CIO exigeait du gouvernement des garanties que tout déficit de financement serait couvert par les autorités locales ou nationales. Dans l’Utah, cependant, les Jeux d’hiver de 2034 sont financés par des fonds privés, un État qui offre cet engagement.
Il n’était pas clair si cela s’était produit lors de la présence de la France auprès des membres du CIO mercredi. FrancsJeux.comUn site Internet francophone sur les Jeux a décrit les garanties comme « suspendues » par l’élection.
« L’incertitude politique n’aide pas, mais les responsables du programme ont assuré au CIO que les garanties seraient signées entre le 8 et le 24 juillet », indique le site Internet. Une position Concernant les présentations des offres, selon une traduction, aucune « zone grise » n’a été révélée par la France ou l’Utah.
« Les deux procès ont déjà été gagnés », conclut le post de FrancsJeux.com.
David Lapartient, membre français du CIO et président du Comité national olympique français, a déclaré sans plus de détails que « quelques questions, quatre ou cinq, sont plutôt sportives ».
Lappartient, cité dans une interview accordée à L’Equipe, un journal sportif national français, a ajouté : « Les membres du CIO ont réalisé la complémentarité entre le mouvement olympique, les régions, l’État et d’autres engagements ».
Les deux candidatures ont été désignées hôtes préférés à la fin de l’année dernière et n’ont fait face à aucune concurrence. Les deux dirigeants du CIO se sont qualifiés pour un vote final de l’ensemble des membres le 24 juillet, Journée des pionniers dans l’Utah, lors de la session annuelle du CIO qui s’est tenue peu avant les Jeux d’été de 2024 à Paris.
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