UNAprès la tristesse, la frustration et la colère, la peur et la confusion sont maintenant capturées. Tout le monde connaît les résultats du premier tour Élection présidentielle française – C’est le choix entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Bien que ce choix soit très difficile à avaler, je me demande depuis plusieurs jours que faire ensuite. Je me demande si mon vote peut vraiment faire monter la balance ? Pire encore, je me demande si mon rôle d’électeur a encore une réelle valeur en France. Dois-je voter ou ne pas voter pour Macron pour stopper l’extrême droite, et donner mon bulletin de vote au fascisme ?
Après les cinq dernières années, nous ne voulons plus être confrontés à ce dilemme. Mais j’en suis venu à la conclusion qu’on ne peut pas permettre à l’extrême droite d’accéder au pouvoir, que ce soit en s’abstenant ou en s’abstenant.
Il y a une peur de devenir un citoyen de seconde zone ; Peur que les expatriés, les demandeurs d’asile et les musulmans, qu’ils expriment ou non leur foi, soient mis hors la loi. Peur de perdre les libertés fondamentales de penser et de s’exprimer librement, de vénérer comme on veut, de croire et de manifester ensemble. Donc, pour empêcher Le Pen de gouverner mon pays, je dois aller voter pour quelqu’un qui a piétiné nos droits pendant son premier règne.
Cette élection sélectionne le moindre de deux maux et réduit le seuil de dégâts. J’ai peur que le résultat de mon vote soit catastrophique, mais j’ai peur que le fédéralisme de Le Pen soit responsable de nos droits laïcs déjà opprimés. Cela conduira à davantage de discrimination et aggravera l’islamophobie croissante des cinq dernières années. Je n’oublierai jamais le ministre de l’Intérieur de Macron, Gerald Dormann, qui a un jour critiqué Le Pen comme « trop doux ».
J’ai 20 ans, donc ce voyage électoral est mon premier contact avec le « devoir civique ». Il ne m’est jamais venu à l’esprit que ce sondage serait psychologiquement un tel test. Le sens du devoir a conduit à une prise de conscience de l’urgence d’arrêter la montée de l’extrême droite. Induit par la personne Est actuellement au pouvoir.
Le blocage de l’extrême droite est principalement justifié par la volonté de protéger mon peuple, des gens comme moi, d’un destin dangereux. Le fait que Le Pen prône la « priorité nationale » limitant les droits fondamentaux tels que le logement, l’aide sociale et l’emploi pour les citoyens non français m’a suffi à l’empêcher d’avoir les mains libres.
Je suis une jeune femme, d’origine maghrébine, musulmane, vivant dans un quartier pauvre, issue d’une famille moins aisée, et les cinq prochaines années seront décidément misérables. Si Macron gagne, son prochain mandat apportera probablement des mesures drastiques, par exemple, seuls ceux qui sont en emploi – ceux qui ne sont plus au chômage – seront éligibles à l’aide au revenu, et le relèvement de l’âge de la retraite à 65 ans – La durée de vie n’est que de 62 ans Au quart des Français les plus pauvres.
Nous allons continuer l’opposition, organiser et unir tous ceux qui peuvent nous entendre. L’essentiel est de ne pas abandonner. En fin de compte, mon vote m’aidera à descendre.
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