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Un agriculteur transportant une pierre vieille de 200 ans et la frontière franco-belge

Un agriculteur transportant une pierre vieille de 200 ans et la frontière franco-belge

On ne sait pas si le fermier connaissait l’importance de la pierre, qu’il a gravée sur son visage en 1819.

En théorie, déplacer la pierre violerait le traité de 1820, a déclaré M. Chopin. Il a dit: « C’est très dangereux. » Eh bien, «sérieux» dans les citations, car bien sûr, il y a beaucoup de choses plus importantes que cela.

Heureusement, les responsables locaux de chaque pays ont vu le côté drôle de la situation.

« Il a agrandi la Belgique et la France plus petite. Ce n’est pas une bonne idée », a déclaré David Laveau, de la province belge d’Erquelinnes, à Entretien avec la radio française TF1. Monsieur Lavo est le maire en chef du village, poste équivalent à celui de maire ou de juge en chef.

Dès qu’il a appris l’accident, Laveau a contacté Aurélie Willonique, qui occupe un poste similaire dans le village français de l’autre côté de la frontière. «J’étais content que ma ville soit plus grande, mais le maire de Bossini Sur Roque n’était pas d’accord», a déclaré M. LaVeaux avec un petit rire.

M. Laveau a déclaré qu’il enverrait au fermier, qui n’a pas été identifié, une lettre officielle exigeant que la pierre soit remise à son emplacement approprié. Si l’agriculteur ne se conforme pas, il peut faire l’objet de poursuites pénales.

Si aucun accord n’est trouvé, M. Laveau a déclaré qu’il se rendrait au ministère belge des Affaires étrangères, qui mettra en place une commission franco-belge pour résoudre le différend frontalier, une décision qui était nécessaire pour la dernière fois en 1930.

M. LaVeaux et Mme Wilonique ont déclaré lors d’entretiens avec les médias français qu’ils sont convaincus que cela n’arrivera pas.

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«Nous devons être en mesure d’éviter une nouvelle guerre frontalière», Mme Willonik Pour La Voix du Nord.