Dans une église embourbée dans des scandales d’abus, le viol et l’exploitation des femmes religieuses sont restés cachés. Un documentaire français qui vise à révéler la vérité.
Le documentaire français, Esclaves sexuels de l’Église catholique, a duré plus d’une heure et demie, pour la première fois en 2017, avant d’être retiré pour des motifs juridiques. Il est facile de comprendre pourquoi elle a des ennuis : ses affirmations sont incendiaires et horrifiantes. Même si l’on tient compte d’un récit qui se décompose souvent en mélodrame et en exagérations (en partie à cause des sous-titres bizarres dans la traduction), il est clair que les preuves existent pour étayer l’argument des réalisateurs Eric Quentin et Marie-Pierre Rimbault selon lequel de nombreuses femmes sont membres de cultes religieux, partout. monde, ils ont été abusés sexuellement par des prêtres.
Le film, à nouveau disponible et en streaming sur Arte (jusqu’au 10 mai), s’intéresse d’abord à des cas précis d’abus en Europe – en France et en Italie plus précisément – puis passe à une culture systémique des abus sexuels en Afrique de l’Ouest où les sœurs racontent d’être expulsés de Leurs supérieurs acceptaient les prêtres locaux en échange d’argent ou de faveurs.
Nous avons commencé en France où les frères Philip, tous deux dominicains qui avaient atteint une grande stature dans le monde religieux et au-delà, ont abusé de sœurs qu’ils cherchaient à guider, même en exécutant apparemment un culte de caractère secret pour la manipulation sexuelle. Le père Thomas Philippe était le mentor spirituel du fondateur de L’Arche, Jean Vanier, et le père Marie Dominique Philippe était le fondateur de la Société Saint John. Tous deux étaient charismatiques et exerçaient un grand pouvoir, en particulier sur les femmes, souvent jeunes et inexpérimentées, habituées et acceptant le patriarcat, souvent attirées par l’apparente intégrité de la vie religieuse parce qu’elles étaient agitées et incertaines.
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