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Un spyware israélien Pegasus trouvé sur les téléphones des ministres français – rapport

Un spyware israélien Pegasus trouvé sur les téléphones des ministres français – rapport

Le logiciel espion de surveillance Pegasus a été utilisé pour cibler les téléphones d’au moins cinq ministres français, a rapporté samedi Mediabart, citant des sources.

Mediapart a déclaré que les téléphones avaient été analysés techniquement en juillet et présentaient des marqueurs suspects.

Les logiciels espions ont été développés par la société israélienne NSO Group Cyber ​​​​Company et ont récemment fait l’objet de sévères critiques. Signaler En juillet, il a été suggéré que le logiciel avait été utilisé par des gouvernements dictatoriaux du monde entier.

Un logiciel espion a été utilisé pour pirater 37 smartphones appartenant à des journalistes. Des représentants du gouvernement Et des militants des droits humains du monde entier, selon le rapport.

Les pirates informatiques et la sécurité Internet (Crédit : REUTERS)

Le rapport a également révélé que des informations provenant de plus de 50 000 numéros de téléphone avaient été obtenues par des clients de logiciels espions.

Une liste d’objectifs potentiels fixés par les clients de NSO, dont le président français Emmanuel Macron, a depuis été publiée par un certain nombre de sources, dont Die Jeet et Horretz. NSO a nié toute implication dans la liste, Harretz Signalé, mais le logiciel Pegasus a été trouvé sur de nombreux téléphones cibles potentiels.

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En outre, Amnesty International a déposé une plainte auprès du tribunal de district de Tel Aviv pour demander la révocation de la licence d’exportation de NSO en 2019, mais a échoué car plus de 20 responsables du ministère de la Défense ont témoigné de l’importance du Pegasus pour la sécurité nationale.

Le logiciel a suscité la controverse avant même que le rapport ne soit révélé, car il pouvait espionner les smartphones Android et Apple en temps réel, permettant d’enregistrer les conversations, de collecter des données et de chiffrer les processeurs de messagerie, à l’insu de l’utilisateur.