Une icône progressiste de la Guyane française en Amérique du Sud a rejoint la course à l’élection présidentielle française en avril.
Lyon, France – Un symbole progressiste de la Guyane française en Amérique du Sud a contesté l’élection présidentielle française samedi. Élection En avril, il a promis de repousser le « discours de haine » qui a entaché la campagne et a cherché à unir la gauche française longtemps brisée.
Christine Taubra n’a qu’un soutien partiel lors du référendum, mais est saluée par beaucoup pour son travail en faveur de la justice sociale et pour avoir renversé la loi française reconnaissant la traite des esclaves comme un crime contre l’humanité. Elle s’est présentée pour la dernière fois à la présidence en 2002, devenant la première femme noire à le faire en France, et n’a obtenu que 2,3% des voix.
En annonçant sa candidature aux supporters de la ville de Lyon, il a déclaré : « Je veux jouer mon rôle contre la rhétorique d’affronter ensemble la haine et les nouveaux défis. » J’entends de la colère face à la discrimination.
Toubra, ancien ministre de la Justice et ancien membre du Parlement européen, a promis de verser à tous les jeunes 800 euros (913 $) par mois pendant cinq ans, en augmentant le salaire minimum et en zéro taxe sur les produits naturels, entre autres mesures.
À l’approche du référendum du 10 avril, la campagne présidentielle française a été dominée par deux factions d’extrême droite : le populiste Eric Gemmore et la deuxième place Marine Le Pen lors du dernier référendum de 2017. Immigration Et a augmenté sur l’agenda de la sécurité.
Jemmore sera jugé lors d’un procès lundi, où il est accusé d’incitation à la haine raciale en qualifiant des mineurs d’immigrants, de meurtriers et de violeurs.
Le président français Emmanuel Macron, un centriste, devrait largement se présenter à la réélection et les sondages suggèrent qu’il est actuellement en tête, bien que de nombreux électeurs n’aient pas décidé.
Thoubra veut rejoindre les forces de gauche françaises autrefois puissantes. Mais avec tant de candidats présidentiels de gauche déjà en lice, sa candidature pourrait le diviser encore plus.
Parmi les autres candidats à la présidentielle figurent le pompier d’extrême gauche Jean-Luc Mélenchon, la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo, le candidat du Parti vert Yannick Jodot et la candidate républicaine conservatrice Valérie Begres.
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