La GFG Alliance de Sanjiv Gupta est confrontée à une bataille contre la faillite de certaines de ses principales entreprises après que le Credit Suisse se soit retiré de longues négociations sur la dette.
GFG devra faire face à une audience à huis clos mardi, plus d’un an après avoir tenté de repousser ses créanciers et de trouver une nouvelle source de financement suite à l’effondrement de son principal prêteur, Greensill Capital.
Les fonds gérés par le Credit Suisse ont à leur tour été d’importants soutiens de Grensel. Les entreprises de l’Alliance GFG doivent à la banque d’investissement suisse plus d’un milliard de dollars (810 millions de livres sterling).
La première session décidera si les problèmes de GFG sont principalement causés par Covid-19 et s’ils bénéficient d’une plus grande marge de manœuvre, selon une personne proche du dossier. Le Financial Times a d’abord rendu compte des sessions prévues.
Citigroup a déposé des requêtes en liquidation au nom du Credit Suisse il y a plus d’un an, mais a interrompu leur mise en œuvre pendant que Gupta tentait de trouver de nouveaux financements.
GFG a déclaré à plusieurs reprises qu’il était sur le point d’obtenir de nouveaux financements, mais ses perspectives ont été affectées par plusieurs enquêtes criminelles. Le Serious Fraud Office du Royaume-Uni enquête sur des fraudes présumées liées à GFG et Greensill, tandis que le gouvernement français a affirmé en privé avoir des inquiétudes concernant le blanchiment d’argent dans les opérations européennes du groupe minier.
Les enquêteurs se sont rendus dans les propriétés de GFG au Royaume-Uni et en France pour obtenir des indices le mois dernier. Le Credit Suisse s’est refusé à tout commentaire. L’Alliance GFG a été contactée pour commentaires.
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