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PARIS, 11 janvier (Reuters) – La France et les puissances mondiales sont encore loin d’être d’accord pour renouveler leur accord nucléaire de 2015, a déclaré mardi le ministre français des Affaires étrangères.
Les pourparlers indirects entre l’Iran et les États-Unis sur la reprise de l’accord nucléaire iranien de 2015 ont repris le 3 janvier.
Les diplomates occidentaux ont indiqué qu’ils s’attendaient à une amélioration fin janvier ou début février, mais il existe de nettes différences avec des problèmes difficiles toujours non résolus. L’Iran a rejeté tout délai fixé par les puissances occidentales.
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« Les discussions sont en cours. Elles sont lentes, très lentes, et cela crée un fossé qui nuit à l’opportunité de trouver une solution qui respecte les intérêts de toutes les parties », a déclaré Jean-Yves Le Drian lors de l’audition parlementaire.
« Il y a eu quelques améliorations depuis fin décembre, mais nous sommes encore loin de conclure ces pourparlers. »
Le huitième cycle de pourparlers sous la direction du nouveau président iranien sévère, Ibrahim Raisi, a repris après avoir ajouté de nouvelles exigences iraniennes au texte de travail.
L’Iran refuse de rencontrer directement les responsables américains, ce qui signifie que d’autres parties – la Grande-Bretagne, la Chine, la France, l’Allemagne et la Russie – devront emprunter une navette spatiale entre les deux parties.
Petits vestiges de cet accord qui a levé les sanctions contre Téhéran en échange de restrictions sur les activités nucléaires. Le président de l’époque, Donald Trump, a évincé Washington en 2018, a réimposé les sanctions américaines, puis est allé au-delà des nombreuses restrictions nucléaires de l’accord iranien.
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Rapport John Irish; Montage par Arshad Mohammed et Jonathan Odyssey
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