PARIS (AP) – Les travailleurs de la santé de toute la France ont organisé des manifestations mardi pour exiger une augmentation de l’emploi et de meilleurs salaires dans les hôpitaux publics, noyant les médecins après des années de réduction des coûts lorsque l’épidémie de COVID-19 a frappé, et obligeant maintenant les services d’urgence à fermer.
Neuf syndicats et alliances ont organisé une journée de protestation, dont une manifestation devant le ministère de la Santé à Paris et dans des dizaines d’autres villes et communes, attirant l’attention du gouvernement sur les préoccupations croissantes concernant les pénuries de personnel.
Le président Emmanuel Macron a promis de reconsidérer le système de l’hôpital général et de nommer un examen d’urgence d’ici le 1er juillet.
L’année dernière, son gouvernement a offert de petites augmentations de salaire à certains membres du personnel hospitalier et approuvé de nouveaux équipements, mais les médecins affirment que les problèmes s’aggravent. En raison de réductions progressives des coûts au fil des ans, le système de santé public français, autrefois célèbre, manquait de personnel et n’était pas correctement préparé lorsque l’épidémie a frappé. La dépression était déjà faible chez de nombreux médecins et certains ont quitté la profession. D’autres ne se sont pas encore remis des défis liés au traitement des vagues continues de patients Govit-19.
Le Samu-Urgences de France, une équipe médicale d’urgence, a calculé le mois dernier que plus de 100 structures d’urgence ont déjà des services limités car prévus en raison du manque de personnel.
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