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Macron fait face à une situation désastreuse alors que la Belgique ferme aveuglément toutes les installations nucléaires en France | Sciences | Des nouvelles

En principe, le gouvernement belge s’est engagé à fermer toutes ses installations nucléaires d’ici 2025. Cependant, ils ont encore le potentiel de prolonger la durée de vie de deux réacteurs nucléaires s’ils ne peuvent pas garantir une alimentation électrique stable à partir d’autres sources.

Pendant des mois, le parlement belge, dirigé par une coalition de sept partis, a débattu de l’opportunité de fermer les installations nucléaires.

Les Verts ont exigé que le traité de non-prolifération nucléaire de 2003 soit respecté.

Pendant ce temps, les libéraux francophones étaient favorables à la prolongation de la durée de vie des deux nouveaux fours.

Le gouvernement belge a également promis d’investir massivement dans le développement des capacités d’énergie renouvelable, en particulier dans les parcs éoliens côtiers.

La Belgique possède deux réacteurs nucléaires, totalisant sept réacteurs vieux de sept ans, qui représentent près de la moitié de la production d’électricité du pays.

Les deux centrales de Doel et Tihange appartiennent à l’électricien français Engie, contre Emmanuel Macron, qui fait pression pour le nucléaire dans l’UE.

La fermeture de ces réacteurs nucléaires controversés, qui ont été arrêtés à plusieurs reprises pour des tests de sécurité et ont fait peur dans les pays voisins, serait un coup dur pour les campagnes de la France au Royaume-Uni.

La France, qui dépend fortement de l’énergie nucléaire, a fait pression pour qu’elle soit incluse dans le plan de classification verte de l’UE.

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Les deux usines devraient fermer en toute sécurité d’ici 2045 dans le but d’être démolies et démolies en toute sécurité d’ici 2045, a rapporté l’agence de presse Reuters.

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Le Premier ministre Alexander de Crowe a déclaré, bien que « peu probable » que certains réacteurs nucléaires puissent fonctionner pendant longtemps.

L’accord de suspension de l’énergie nucléaire pourrait causer d’autres problèmes à la Belgique alors qu’elle commence maintenant à comprendre comment compenser la pénurie d’énergie.

Dans le cadre de l’accord de compromis, la technologie nucléaire ne sera pas négligée à l’échelle nationale, avec 100 millions d’euros (84 millions de livres sterling) investis dans la recherche et le développement, y compris de petites centrales nucléaires modulaires.

Le premier réacteur sera arrêté le 1er octobre 2022.

Pendant ce temps, sa désactivation complète, y compris l’élimination de toutes les matières radioactives et la démolition des bâtiments, devrait être achevée d’ici 2045.