La dirigeante d’extrême droite française Marine Le Pen a confirmé sa démission vendredi Collection nationale (RN) ou le Parti du rallye national cherche à étendre son soutien avant l’élection présidentielle de 2022.
«Avec la possibilité de réussir [in the presidential election] Cela n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui et je veux être le candidat de tous ceux qui veulent mener la lutte nationale », a-t-il déclaré vendredi. L est invalide Journal.
Le Pen a déclaré qu’il serait réélu candidat RN à la présidence française mais qu’il céderait la direction du parti après la prochaine convention en juillet.
Le Pen avait précédemment déclaré vouloir «tout le candidat du peuple français» à l’élection de l’année prochaine, tout en étant «ouvertement soutenu» par son mouvement populiste.
Aucun héritier ne correspond
L’ancien avocat n’a pas fait allusion à son successeur lors de l’entretien de vendredi, bien que certains aient suggéré le numéro deux du parti et l’eurodéputé, le nouveau RN de Jordan Bardella.
Bartella avait 25 ans et était auparavant chef de l’aile jeunesse du parti.
La belle-fille de Le Pen, Marion Marachal-Le Pen, ancienne héritière présumée, s’est depuis retirée de la politique.
Le Pen, qui a perdu contre Emmanuel Macron de 66% à 34% au second tour de l’élection présidentielle française de 2017, est en très bonne position pour se rendre aux urnes l’année prochaine.
Des sondages récents suggèrent qu’il pourrait se situer à quelques points de pourcentage de Macron au deuxième tour entre les deux.
Macron a perdu du terrain
La réputation de Macron pour les retards dans le traitement de l’infection par le virus corona et des rouleaux de vaccination a récemment diminué.
Mercredi, Le Pen a avancé l’idée d’un gouvernement d’unité nationale visant à attirer les électeurs de gauche et de droite. Cibler le milieu de terrain a aidé Macron à gagner en 2017.
Le Pen a promis un référendum sur les plans visant à changer radicalement l’approche du pays en matière d’immigration dans les six mois suivant son entrée en fonction.
Depuis qu’elle a succédé à la tête du RN à son père, Jean-Marie, Marine Le Pen, l’héritière du Front nationalisme d’extrême droite, a modéré de nombreuses politiques du parti et expulsé des membres accusés de racisme et d’antisémitisme, y compris son père. .
Il ne parle plus de la sortie de la France de la zone euro, il a déclaré vendredi à la presse que « sortir de l’euro était indéniablement trop effrayant ».
mm / msh (AFP, dpa)
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