Dakarinfo

Obtenez toutes les dernières nouvelles et rapports sur la FRANCE ici Manchettes, politique et culture françaises sur la chaîne d'information

RTL Today – Frontière franco-luxembourgeoise: contrôle de la police française pour faire appliquer les contrôles du virus corona

Les résidents des zones frontalières françaises qui voulaient profiter d’activités plus sobres, contournant les restrictions au Luxembourg voisin, en ont payé le prix samedi alors que la police française effectuait un contrôle à la sortie de « Confen » de l’autoroute A31.

Les activités actuelles du virus corona en France sont très limitées: en plus du couvre-feu strict, les résidents doivent être munis d’un certificat s’ils souhaitent voyager à plus de dix kilomètres de leur domicile. Il n’est donc pas surprenant que de nombreux habitants aient décidé de partir en voyage au Luxembourg, où bars et restaurants ont pu ouvrir leurs terrasses jusqu’au 7 avril.

Cependant, c’est peut-être l’une des raisons à l’origine de la décision de la police mosellane de procéder à un contrôle à la frontière franco-luxembourgeoise le samedi 10 avril, début des vacances scolaires en France. L’objectif affiché est d’appliquer strictement les mesures visant à réduire la circulation apparente du virus et à réduire la pression sur les hôpitaux français. La descente de police a en fait été annoncée plus tôt.

Au rond-point de Confen, en direction de Luxembourg, les voitures ont été signalées vers la sortie 44 sur l’A31.

1300 véhicules ont été testés, soit 1500 et 17 ont été condamnés à une amende

Laurent Dwight, chef du département de la Moselle, a participé avec le commissaire aux frontières République française-Luxembourg Pierre Porter, le directeur de la police zonale des frontières et le général Eric Madin, commandant du groupe Moselle Gendermary, avec l’aide des autoroutes républicaines. Société de sécurité. Au total, environ 45 agents ont été mobilisés.

READ  La France lance une enquête terroriste après qu'un officier ait poignardé un officier

Au cours de l’opération, 1 300 véhicules ont été testés et 17 personnes ont été condamnées à une amende pour ne pas avoir fourni de certificat de voyage.

Si certains connaissaient les conditions en vigueur à partir du 3 avril et avaient acheté un certificat ou des exigences de base justifiant un voyage, d’autres ne pouvaient témoigner des risques encourus que si les mesures n’étaient pas respectées:

  • Première amende: amende de 5135, portée à 5375 (pour non-paiement ou défaut de concurrence dans le délai indiqué sur le billet)
  • Récidive dans les 15 jours: amende de 15200, portée à 450 € (pour non-paiement ou défaut de concourir dans le délai indiqué sur le billet)
  • Après trois infractions en 30 jours:, 7 3750 amendes, six mois d’emprisonnement.