Selon un communiqué de Downing Street, l’accord réduira la paperasserie pour les entreprises, mettra fin aux droits de douane sur les exportations britanniques et créera de nouvelles opportunités pour les entreprises de technologie et de services.
Les Premiers ministres Boris Johnson et Jacinda Ardern ont scellé l’accord lors d’un appel conjoint après 16 mois de négociations.
« C’est un grand accord commercial pour le Royaume-Uni, qui renforce notre amitié de longue date avec la Nouvelle-Zélande et renforce nos relations avec l’Indo-Pacifique », a déclaré Johnson.
L’accord fait suite aux accords de libre-échange avancés que le Royaume-Uni a déjà conclus dans la région avec l’Australie et le Japon.
« Cet accord sert l’économie et les exportateurs néo-zélandais alors que nous nous reconnectons, reconstruisons, récupérons du COVID-19 et regardons vers l’avenir », a déclaré Ardern lors d’une conférence de presse à Wellington.
Tous les droits de douane seront annulés sur tous les produits entre les deux pays. Le commerce entre le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande s’élevait à 2,3 milliards de livres (3,2 milliards de dollars) l’année dernière et devrait augmenter dans le cadre du nouvel accord.
Lors de l’appel Zoom, Johnson a déclaré que les produits néo-zélandais que les consommateurs britanniques adorent seront disponibles à un prix inférieur, des vins Sauvignon Blanc au miel de manuka et aux kiwis.
Pendant ce temps, Ardern a décrit le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande comme « de bons amis et des partenaires proches ».
« Les liens historiques qui nous unissent sont profonds », a-t-elle déclaré, ajoutant que l’accord commercial « est bon pour nos économies, nos entreprises et notre population ».
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